INFOS – N°14 – 2020

Bonjour à toutes et à tous,

La réouverture s’est bien passée, chacun respecte les gestes barrières et le port du masque Continuons d’être vigilants tous ensemble

Il n’y a pas de « saturation » des pas de tir. Pour rappel, seule la moitié des postes de tir sont en service. Donc, prévoyez toujours une arme longue et une d’épaule au cas où …

On compte sur votre civisme/responsabilité pour garder le stand ouvert.

Un sociétaire du club recherche pour achat, en cat B, un pistolet Colt 45acp ou type Colt1911Acp, et un pistolet Beretta 92fs. Faire propositions à Vincent au 0616130978

Le club recherche pour ses formations des étuis 9m/m tiré une fois.

Merci

En fin de ce message : annonces ventes armes de sociétaires du club

RAPPEL

Travaux et nouvelle fermeture en vue, du 15 au 26 juin désolé,

Le stand reste toujours fermé tous les mardis pour travaux d’entretien.

Suite à un affaiblissement grave du mur réceptacle du 200m et à la remise en état de la casquette de protection du même mur.

ATTENTION :

Les pas de tir 50/100 200m et l’aire de tir plateaux seront fermés les semaine 25 et 26, donc du 15 au 26 juin.

Seul le pas de tir 25m sera accessible.

Un système de RESERVATION sera probablement mis en ligne pour accéder au 25m

Vous en serez prévenu lors du prochain mail du club

Activités à venir

Permanence : demain mercredi 03 juin de 11h à 17h30, avec location arme du club pour entrainement

Rappel, attention, plus que 5 postes disponibles au 25m…prévoir aussi une arme longue.

Dimanche 07 juin, permanence avec location arme du club de 9h/12h00.

Tir plateaux : jeudi 4 juin. (50, 100, 200 et 300m fermés) 25m reste ouvert T.S.V: 6 et 26 juin, 4 juillet, que le matin de 8h45 à 11h30. (300m fermés) Formation : 30 mai, stand réservé à la dernière formation de la saison.

Nouvelle réglementation :

Elle sera effective uniquement à partir du 1er juillet 2020. En attendant la réglementation actuelle reste en vigueur !

En quelques mots

Invités : on a le droit d’inviter la même personne mais que deux fois/an. La procédure est inchangée, faire une demande autorisation au club par mail, avec nom, prénom date de naissance. Tir possible avec Cat D, C et B. Attention au niveau du club, suite au faible nombre de postes de tir qui reste ouverts, le Codir a stoppé les invitations pour laisser la priorité aux tireurs du club, jusqu’à nouvel ordre.

Lors de la venue au club, inscription sur registre du club près de « pointage automatique » /contrôle des licences FFtir.

Carnet de tir = « suppression du carnet de tir de contrôle », sauf

Primo acquérant => formation aux armes de Cat B, trois tirs enregistrés au niveau club, avant toute première

acquisition. Donc, rien de changé sur le fond.

Renouvèlement/sociétaire détenant déjà une Cat B : plus d’obligation d’avoir les trois tirs de contrôle par an, plus

qu’un seul tir enregistré à effectuer par an, et faire montre d’assiduité dans la pratique du tir.

Conservez bien vos carnets de tir, ne serait-ce qu’en cas de mutation de club, par exemple, pour attester au nouveau président, que vous pratiquiez bien le tir avec une Cat B…

Pour plus de détails voir, ci-après, adaptation au règlement du club

Prenez soin de vous et de vos proches

Merci de respecter les gestes et consignes de réouverture.

A bientôt, l’équipe des APA

 

Ce présent règlement est immédiatement applicable à dater du 12 Octobre 2018

Il a été complété et validé par le CoDir du 16 mai 2020, suite à la nouvelle réglementation, applicable au 1er/07/2020.

ARTICLE 3 – 2

Les invités non titulaires d’une licence FFTir.

Les séances de tir d’initiation de personnes qui ne sont pas titulaires d’une licence FFTir en cours de validité ne peuvent être faite qu’après invitation personnelle du Président ou établie sous sa responsabilité.

Un formulaire de demande d’invitation est à la disposition de nos adhérents, formulaire qui devra être remis ou transmis au Président.

Les coordonnées des invitées

  • Nom, Prénom, Date de naissance,

Devront être renseignées sur le formulaire aux vues des pièces d’identité fournies.

Il devra être porté à l’intention des invités, que leur participation à la séance de tir est subordonnée à la vérification préalable de leur inscription ou non au fichier national des interdits d’acquisition et de détention d’armes (FINIADA).

Cette vérification sera faite sous la responsabilité du Président sur la base ITAC de la Fédération Française de Tir.

Le formulaire sera alors complété et validé ou non par le Président, pour chaque personne faisant l’objet de la demande d’invitation. Il n’est possible d’inviter une personne pour tirer en mode initiation uniquement deux fois par an, pas plus.

Lors de ces invitations, les personnes invitées ont accès aux armes de catégorie B, C et D, armes du club ou du licencié.

Tout manquement à cet article constituerait un motif d’exclusion immédiat. La confirmation de cette exclusion sera faite par le CODIR

En cas de non-respect de cet article, l’invitant aura sa responsabilité engagée au vu de l’article R317-3-2 du Code de la sécurité intérieure.

– ARTICLE 7 –

MODALITÉ DE DÉTENTION et de RENOUVELLEMENT

Tous les articles relatifs à la pratique du tir sportif sont soumis intégralement aux dispositions de la loi et à leurs décrets d’application

en vigueur, à savoir :

  • La demande d’autorisation d’acquisition ou de détention d’arme(s) à titre sportif
  • La demande de renouvellement d’autorisation de détentions d’armes(s) à titre sportif
  • La délivrance de l’avis favorable de la Fédération Française de Tir

Le président de l’association a le pouvoir de refuser la délivrance d’un avis favorable à un adhérent (primo acquérant*) qui, entre autres, pour cette 1ère demande d’acquisition :

  • N’aurait pas effectué les trois séances de tir, espacés de 2 mois, au cours des douze derniers mois, précédant la demande, soit en présence du Président soit d’un sociétaire à qui le Président a délégué cette fonction
  • N’aurait pas fait preuve d’une pratique régulière du tir
  • N’aurait pas reçu et réussit la formation d’aptitude aux maniements des armes de catégorie B.
  • Présenterait un risque avéré autant pour sa sécurité personnelle que pour celles des autres adhérents.

*Un primo acquérant est un sociétaire qui n’a pas encore détenu de catégorie B

Pour un renouvellement, les titulaires de détentions d’armes de catégorie B, doivent faire preuve d’une pratique régulière du tir, effectuer un tir enregistré par an, dans les douze mois précédant la durée de l’autorisation, en présence d’un sociétaire à qui le Président a délégué cette fonction. (Voir tableau affichage)

Dans les deux cas, ces tirs seront notés sur un registre adoc qui pourra au besoin, être présenté aux autorités. Les tirs seront également reportés sur un document dont le sociétaire est seul titulaire.

 

 

 

Le déroulement du tir :

ARTICLE – 11 – PROCÉDURES pour la VALIDATION de TIRS enregistrés –

 

  • Pour participer à une séance de tir enregistré, le licencié doit être en possession de sa licence en cours de validité et signée par le Président ainsi que de son document approprié ou d’un carnet de tir.
  • Lorsque le licencié est titulaire d’autorisations de détention pour des armes classées en catégorie B, le tir d’enregistrement est pratiqué obligatoirement avec une arme classée en catégorie B.

    L’arme utilisée lors de la séance doit présenter les mêmes caractéristiques que celle(s) détenue(s) par le licencié.

  • Lorsque le licencié n’est pas titulaire d’autorisations de détention pour des armes classées en catégorie B, le tir peut malgré tout être pratiqué avec une arme classée en catégorie B. L’association est à même lui mettre à disposition une arme, de catégorie B, en calibre 22lr et de lui fournir les munitions adaptées moyennant le coût de la location de l’arme et du prix de munitions
  • La séance de tir sera effectuée sur le pas de tir adapté à l’arme et à la munition sous le contrôle du Président ou d’une personne

    habilitée nommée par le président.

  • Modalités de tir :
    • Pour les armes de poing, un tir de 40 coups minimum sera effectué sur une cible homologuée (type C50, ou TSV).
      • 30 impacts devront être dans la cible
    • Pour les armes d’épaule, un tir de de 20 coups minimum sera effectué sur une cible homologuée (type C50, C200, C50 réduite) le tout adapté au type d’arme et au type de visée.

 

  • 15 impacts devront être dans la cible.
  • Aucune dérogation quant au type de cible ne sera admise.
  • Une fois le tir effectué, le Président ou le sociétaire habilité par lui valide ou non le déroulement du tir.
    • Les motifs de non validation ne peuvent qu’être :
      • Un manquement aux règles de sécurité
      • La non-maîtrise du nombre de ses impacts (alinéa 5 du présent article)
    • La validation du tir est faite par le Président ou le sociétaire habilité par lui, sur le document approprié du tireur ou sur un carnet de tir en y apposant son nom, sa signature, la date et en remplissant le registre administratif adéquat d’enregistrement des Tirs.
  • Quand et Comment effectuer un tir de validation.

 

COMMENT

QUAND

À QUELLE HEURE

 

Les jours de formation

Après 16H35

Sous réserve de la présence des personnes habilitées.

Les Samedi et Dimanche

À partir de 11H35

Sur Rendez-vous par mail ou téléphone

Au moins 5 jours à l’avance

Voir affichage au club des sociétaires habilités

Sur Rendez-vous au Secrétariat

par mail ou téléphone

Au moins 5 jours à l’avance

 

 

  • Toute participation à un championnat ou à une compétition officielle organisée sous le contrôle de la FFTir peut donner lieu à validation du document approprié ou du carnet de tir.

 

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A vendre :

 

Article du Parisien avril Par Florian Loisy Stand de Wissous.

« Manquement aux règles de sécurité, tentative de suicide, stages de tir à l’arme lourde pour les jeunes des quartiers ou pour l’un des terroristes du Bataclan… La préfecture a fait fermer le site.

Le 23 avril 2019 à 15h27, modifié le 23 juillet 2019 à 12h48

Les détonations ne retentissent plus sur le stand de tir de Wissous. Si depuis 1 an, et la prise d’un arrêté préfectoral passé inaperçu, le site est fermé, sa réouverture se joue désormais sur le terrain de la justice. Selon nos informations, l’association sportive Arquebuse qui s’entraînait sur le site aurait entamé une procédure devant le tribunal de commerce contre la nouvelle entreprise sur les rangs qui ne voudrait pas lui octroyer des créneaux. Et un recours a été fait auprès du tribunal administratif contre l’arrêté préfectoral.

Les raisons détaillées par la préfecture pour justifier la fermeture de cette structure qui compte l’Arquebuse, une armurerie appelée SLD, mais aussi une société d’initiation au tir baptisée BTI sont particulièrement inquiétantes. Dans son courrier daté du 26 avril 2018 Josiane Chevalier, préfète de l’Essonne à cette époque, note que Frédéric Botbol, détenteur de 98 % des parts de ces deux entreprises qu’il a rachetées pour 800 000 €, « manque de sérieux avec une clientèle composée de jeunes issus des quartiers sensibles présentant des signes extérieurs d’une religion islamique rigoriste ». Son activité professionnelle consiste notamment depuis 2012 à initier des débutants au tir à balles réelles avec des armes lourdes.

Liquidation judiciaire

Frédéric Botbol avait été interdit d’exercer à Paris où il avait encadré trois séances de tir pour Samy Amimour, l’un des terroristes du Bataclan, et avait été contraint de jeter son dévolu sur Wissous pour poursuivre ses stages.

Le manque de sécurité est également pointé du doigt par la préfecture. Un mois avant l’arrêté, le 23 mars, un homme a fait une tentative de suicide lors d’une initiation. Et lors d’un contrôle inopiné, les policiers ont noté que Frédéric Botbol encadrait seul dix novices en leur laissant des armes et des munitions à disposition. « Lui-même n’est d’ailleurs titulaire que de la qualification de moniteur fédéral, sans être titulaire du brevet professionnel nécessaire » rapporte cette note. Nous avons tenté de joindre Frédéric Botbol. En vain.

Depuis, le 1er octobre, faute de rentrées financières, l’entreprise SLD a été placée en liquidation judiciaire. Jusque-là, son chiffre d’affaires était estimé à près de 250 000 € par an.

400 membres du club de tir impactés

« Elle a été rachetée par une autre entreprise, affirme Richard Trinquier, le maire (DLF) de Wissous qui fustige cet arrêté préfectoral. L’activité pourrait donc reprendre, mais cette nouvelle entreprise n’a pas encore effectué de démarches pour que nous passions pour vérifier la sécurité. Ni nous ni d’autres instances. »

 

De son côté, la ville n’est que le bailleur de ce centre de tir, loué 4 000 € par mois à l’entreprise en charge de l’exploitation du site. « La seule chose qui nous dérange avec cette fermeture c’est que nos policiers municipaux ont besoin de ce lieu pour s’entraîner au tir. » Et leur port d’arme se limite à la commune.

« Mais la préfète a fait fermer toute cette activité dans la précipitation, cela impacte notamment les 400 membres du club de tir

», souligne Richard Trinquier qui fait aussi partie des adhérents. Le 8 avril 2018, il avait été arrêté en possession de son pistolet d’entraînement et de son sabre katana après une altercation avec des gens du voyage. Des faits pour lesquels il a été condamné en novembre à 6 mois de prison avec sursis pour violences et menaces avec arme. Néanmoins, lui-même était contre la mise en place de stages d’initiation. « J’avais fait évacuer un dimanche, car pour moi ce n’est pas un lieu qui doit être commercial, c’est un lieu dédié au tir sportif, après qu’il y ait une armurerie ou non, peu m’importe, mais je veux que l’association de l’Arquebuse puisse reprendre », indique le maire qui entend avoir son mot à dire. Et c’est notamment ce point de détail qui poserait problème avec la nouvelle entreprise. « Je crois qu’ils veulent se faire de l’argent en faisant aussi des stages de tirs », souligne le maire.

DROIT DE REPONSE

« En réponse à l’article de Monsieur Florian LOISY du 23 avril 2019, Monsieur Frédéric BOTBOL tient à apporter les mises au point suivantes :

Monsieur Frédéric BOTBOL réfute avoir fait l’objet d’une quelconque interdiction d’exercer à Paris où il aurait prétendument encadré trois séances de tir pour Samy AMIMOUR, l’un des terroristes du Bataclan.

Lorsque Monsieur Frédéric BOTBOL a débuté son activité à Wissous, il n’était absolument pas interdit d’exercice à Paris. En tout état de cause, une mesure d’interdiction d’exercice l’aurait empêché d’exercer sur l’ensemble du territoire. Il est donc inexact de prétendre que ce serait en raison d’une interdiction d’exercer à Paris qu’il aurait jeté son dévolu sur Wissous.

Concernant Monsieur AMIMOUR, Monsieur Frédéric BOTBOL n’avait à l’époque, aucune raison objective de lui refuser l’accès à l’activité, lorsqu’il s’est présenté en 2012 pour une seule initiation au tir, et non pour trois séances comme l’affirme l’article. En effet, ce jour-là, Monsieur AMIMOUR dont la presse a révélé qu’il a travaillé pour la RATP en qualité de chauffeur de bus jusqu’en 2013, ne portait aucun signe religieux ostentatoire. Il ne tenait aucun propos véhément et n’avait adopté aucune attitude déplacée.

Monsieur Frédéric BOTBOL n’a donc jamais encadré les séances de tir d’un terroriste : A cette époque, Monsieur AMIMOUR n’avait commis aucun acte terroriste et que Monsieur Frédéric BOTBOL ne pouvait un seul instant, soupçonner que cette personne participerait trois ans plus tard, à la tuerie du Bataclan.

Il sera précisé que n’importe quel centre de tir est confronté aux mêmes difficultés en France. Aucun centre de tir n’a accès au casier judiciaire étant précisé qu’en tout état de cause, un casier vierge n’est pas une garantie en soi. Aucun centre de tir n’a accès aux fichiers S, ce fichier dont l’existence juridique est douteuse, qui n’a pas vraiment de caractère officiel.

Monsieur Frédéric BOTBOL réfute par ailleurs les propos repris par l’article suivant lesquels il aurait manqué de « sérieux avec une clientèle composée de jeunes issus de quartiers sensibles présentant des signes extérieurs d’une religion islamique rigoriste ».

Par hypothèse, les séances d’initiation étaient ouvertes à tout le monde sans discrimination. Les personnes qui s’adressaient à TIR INITIATION provenaient de tous milieux sociaux et de tous milieux culturels. Il s’agissait parfois, de salariés d’entreprises à qui le comité d’entreprise avait offert des séances d’initiation, parfois de groupes venant fêter un enterrement de vie de garçon…

Monsieur Frédéric BOTBOL refusait toutefois l’initiation au tir à toute personne présentant un quelconque signe religieux ostentatoire (port du voile par exemple), ce qui lui a d’ailleurs valu d’être entendu par des officiers de police, deux plaintes ayant été déposées à son encontre pour discrimination raciale.

En outre, aucune initiation avec armes lourdes n’a été pratiquée. La notion d’armes lourdes est en tout état de cause, floue. On emploie le terme « armes lourdes », dans le langage militaire, pour désigner les armes qui ne peuvent être manipulées par moins de deux personnes a minima. Jamais aucune initiation n’a été pratiquée avec ce type d’armes au centre de tir.

Enfin, Monsieur Frédéric BOTBOL entend préciser qu’il est titulaire d’un Brevet d’entraîneur cible 1er degré obtenu en 2011 auprès de la Fédération Française de Tir, ce diplôme ayant été obtenu sur présentation d’un mémoire intitulé « Présentation d’une société de séances d’essai de tir sportif à vocation commerciale et prescriptive d’adhérents club et FFTir qui a reçu la mention « bien » auprès de la FFT et qui décrivait scrupuleusement les séances d’initiations qu’il entendait mettre en œuvre. »